À propos de Gérard Vespierre

Chercheur, conférencier en géopolitique - Identifier toute information du monde économique, et géopolitique, même de faible intensité, porteuse de sens, réunir ces pièces, et en déduire la direction que prendront les évènements. Voilà ma pratique.

ISRAEL : Immense choc de l’impensable attaque – CNews

Par |2023-10-12T23:05:43+02:008 octobre 2023|Médias - Proche et Moyen-Orient|

Le 6 octobre 2023 prendra une place particulière dans l’Histoire de la société israélienne. Se reposant sur ses supériorités militaires et technologiques, les citoyens israéliens n’ont jamais imaginé qu’un millier de combattants du Hamas franchiraient la clôture de sécurité de Gaza tueraient probablement plus de 1000 d‘entre eux, et enlèveraient vers Gaza plus de 150 de leurs compatriotes.

PARLEMENT EUROPÉEN, la réalité de la situation iranienne.

Par |2023-10-06T15:43:02+02:005 octobre 2023|Conférences|

Fin septembre, des parlementaires européens et des experts se sont penchés sur la situation réelle en Iran. J’ai eu l’honneur d’y présenter une analyse de la situation économique à travers une rétrospective de 44 ans de gestion de la République islamique. L’économie iranienne va mal, avec un chômage de 25% chez les jeunes. Une des interrogations porte sur la contribution des sanctions à cette situation.

Iran : vers de nouvelles révoltes populaires ?

Par |2023-09-20T17:31:53+02:0017 septembre 2023|Moyen-Orient|

Publié sur Atlantico - Dans quelques jours les iraniens pourraient être tentés de manifester à nouveau. Le 1er anniversaire de la mort de Mahsa Amini en serait l’occasion. Ce drame avait provoqué des manifestations pendant de nombreuses semaines. La répression avait causé des centaines de morts, et plus de 30.000 arrestations. Les conditions d’une reprise du feu de la révolte sont-elles présentes ?

Corée du Nord – Russie, même combat… Radio Judaïca

Par |2023-09-16T15:09:21+02:0013 septembre 2023|Médias - Affaires internationales, Médias - Russie|

La Corée du Nord est née en 1945 d'un "coup stratégique" de l'URSS/Russie. En déclarant la guerre au Japon, 24 heures après Hiroshima, l'URSS peut juridiquement participer à sa capitulation (!). Avec ses 19km de frontière commune, l'URSS se porte candidate pour désarmer la péninsule coréenne occupée par le Japon. Les États-Unis refusent de voir Moscou s'introduire dans toute la Corée. Elle est donc divisée Nord/Sud, La Corée du Nord, communiste, sous obédience russe est née.

France, Maroc : tensions diplomatiques au grand jour – France Info

Par |2023-09-16T15:14:23+02:0012 septembre 2023|Médias - Proche et Moyen-Orient|

Les relations entre la France et le Maroc, se sont compliquées au niveau gouvernemental depuis quelques temps. Le fort tremblement de terre au sud de Marrakech, et la "non acceptation" par le Maroc de l'offre officielle d'assistance de la France, ont révélé au grand jour une situation tendue contrastant avec la relation des deux populations.

Moscou et Tel-Aviv, une épineuse relation – i24News

Par |2023-09-09T00:52:24+02:006 septembre 2023|Médias - Proche et Moyen-Orient, Médias - Russie|

La décision d'Israël d'accepter l'invitation de l'Ukraine et de participer à la réunion de la "Plateforme de Crimée" irrite au plus haut point la Russie. Ce "Format" avait été lancé par Kiev en août 2022, donc 6 mois avant l'invasion russe. Israël n'avait pas été invitée à l'époque. Moscou craint que ce rapprochement avec l'Ukraine conduise Israël, un jour, à fournir de l'armement à Kiev. Dans sa situation militaire, et compte tenu de la qualité des équipements israéliens, la Russie ne veut absolument pas être confrontée à une telle situation. Tel-Aviv, d'un autre côté, sait parfaitement que les forces russes en Syrie ne s'opposent nullement à ses bombardements aériens sur les forces iraniennes présentes dans ce pays. Moscou est tactiquement obligée d'accepter la présence iranienne, mais ne souhaite pas stratégiquement son maintien. Elle laisse donc faire l'armée israélienne. Bel exemple de double jeu... Il y a aussi bien à Moscou qu'à Tel-Aviv un savant jeu de bascule dans leurs relations bilatérales. L'affaiblissement potentiel de la Russie par sa guerre en Ukraine n'est pas forcément un inconvénient pour Israël. La relation entre les deux pays est cyclique. Cette évolution pourrait se poursuivre si le régime de Téhéran, allié de la Russie et ennemi profond d'Israël, venait un jour à vaciller. Cela placerait les deux soutiens du président syrien, l'Iran et la Russie, sur le reculoir...

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