Après 36 mois de guerre, plus de 500 000 morts et blessés, “le début de la fin de ce conflit” est profondément attendu par la population ukrainienne, russe, mais aussi par le monde entier. Mais hélas, il fallait qu’une situation soit acquise, une réelle stabilisation du front.
La trajectoire et la personnalité du 47ᵉ président des États-Unis ne laissent personne indifférent. Il se dégage deux visages, opposés, réunis par un point commun : l’énergie.
Fidèle à sa stratégie de pression, et d'approches opposées, le nouveau président des Etats-Unis, entretien deux fers au feu concernant l'Iran, la recherche d'un nouvel accord nucléaire, et la menace de nouvelles sanctions. Mais, il pourrait y avoir une troisième voie....
L'intervention de Donald Trump le 4 février visant à recomposer totalement la bande de Gaza, vidée de ses habitants, à susciter un émoi, et une opposition mondiale. Le service de presse de la Maison Blanche et le Secrétaire d'Etat aux Affaires Etrangères, ont été obligés d'adoucir les propos du président. Les Etats-Unis n'interviendront très probablement pas. Quelle stratégie derrière ces propos? Trois sont envisageables, créer une pression sur le Hamas, dans le cadre de la poursuite des négociations, inciter les pays du Golfe à intervenir financièrement, ou fabriquer de toute pièce un élément de négociation avec l'Arabie Saoudite. La poursuite des négociations avec Riyad, dans le cadre de l'extension des accords d'Abraham, sera une haute priorité de l'administration américaine, dans les mois à venir.
Dès son investiture, discours et signature de dizaines de décrets, lancent puissamment tous ses thèmes de campagne du contrôle de l'immigration, jusqu'aux questions énergétiques, en passant par les sujets sociétaux. Continuation de la communication volontariste, de la campagne du candidat.
Les réseaux de câbles qui parcourent les fonds marins, constituent un nouveau terrain d'affrontement entre grandes puissances. Transportant énergie électrique ou d'impressionnants débits de données, ces réseaux constituent aussi des points de fragilité stratégique et industrielle des Etats. L'impossibilité d'une surveillance totale augmente leur vulnérabilité. Deux sabotages entre la Suède, la Finlande et l'Estonie illustrent la réalité de l'affrontement.
Incroyable déclaration du Ministre des Affaires Étrangères Russe, le 1er novembre. "La Russie est au bord d'un affrontement direct avec les Etats-Unis".....Comment décrypter une telle déclaration? Pourquoi maintenant? Quelle réaction américaine?
On s'attendait à un vote très serré....et à un résultat tardif. Mais on oubliait de prendre en considération la multiplicité des populations identifiées comme décisives (population noire, latino, femmes, évangéliste....). Ce nombre de variables augmentait la probabilité d'un écart significatif entre sondages et résultats.
L'effet de surprise est accompagné des soutiens des anciens présidents, Clinton, et Obama, ainsi que de leurs épouses, très présentes dans la politique américaine.
La Corée du Nord est née en 1945 d'un "coup stratégique" de l'URSS/Russie. En déclarant la guerre au Japon, 24 heures après Hiroshima, l'URSS peut juridiquement participer à sa capitulation (!). Avec ses 19km de frontière commune, l'URSS se porte candidate pour désarmer la péninsule coréenne occupée par le Japon. Les États-Unis refusent de voir Moscou s'introduire dans toute la Corée. Elle est donc divisée Nord/Sud, La Corée du Nord, communiste, sous obédience russe est née.
