Algérie : Pétrole et crise économique – CNews
Algérie : Pétrole et crise économique [...]
Algérie : Pétrole et crise économique [...]
Depuis 2010, la révolution du pétrole de schiste est en marche aux Etats-Unis. La remontée des cours a relancé la production américaine… Retraçons les différentes phases et essayons d’anticiper…
Qui aurait pu prédire, que la Russie allait connaître une importante crise économique ? Crise d’origine interne, externe ? Quelle politique le Kremlin va-t-il pouvoir mettre en place pour combattre cette situation?
La levée des sanctions contre le régime de Téhéran après l’accord international sur le programme nucléaire iranien offre de réelles opportunités de commerce international avec ce pays. Toutefois le paysage n’est pas sans nuage, ou potentielles illusions.
L’économie chinoise continue de ralentir. La baisse de la production industrielle impacte directement son marché financier. De quoi alimenter la chute du prix du pétrole. Deux seuils symboliques vont être franchis. Quelles conséquences pour le monde?
La baisse du prix du baril a été une surprise fin 2014. Les cours actuels font plus que surprendre. Les indicateurs aux Etats-Unis laissent entrevoir des perspectives encore plus étonnantes. A savoir, la probabilité d’une nouvelle baisse des cours.
La Russie intervient maintenant en Syrie directement avec des bombardements aériens. Mais, à l’intérieur, la santé de la maison Russe n’est pas bonne. Les négociations avec l’Arabie Saoudite sur la question syrienne auront-elles d’autres effets ?
La production américaine de pétrole de schiste a provoqué un déséquilibre de l’offre. L’OPEP et l’Arabie Saoudite ont décidé en décembre 2014 de contrer cette situation en maintenant leurs volumes. La baisse des prix, consolidée par cette stratégie force finalement les Etats-Unis à réduire leur production. Pari gagné pour le royaume saoudien.
Loin de ce qui avait pu être affirmé il y a quelques mois, les prix pétroliers ne tangenteront pas les 200 dollars le baril, mais vont rester sous les 50. Voici pourquoi.
La conjonction de l’actuelle baisse de l’euro et des prix pétroliers, qui pourraient toutes deux durer, est particulièrement favorable à l’économie française.