Où va l’Iran ? – IDFM98.0
Le monde se souvient des mouvements populaires généralisés dans tout le pays après la mort de la jeune Mahsa Jina Amini le 16 septembre 2022. La situation iranienne demeure explosive, et le pouvoir le sait.
Le monde se souvient des mouvements populaires généralisés dans tout le pays après la mort de la jeune Mahsa Jina Amini le 16 septembre 2022. La situation iranienne demeure explosive, et le pouvoir le sait.
Publié sur la Tribune Une opportunité majeure d’emplois, de croissance, et de rayonnement industriel, est-elle en train de se mettre en place dans notre pays ? Quels sont les éléments qui peuvent faire espérer que la France soit en train de se doter d’une nouvelle corde à son arc ?
Publié sur Atlantico - Dans quelques jours les iraniens pourraient être tentés de manifester à nouveau. Le 1er anniversaire de la mort de Mahsa Amini en serait l’occasion. Ce drame avait provoqué des manifestations pendant de nombreuses semaines. La répression avait causé des centaines de morts, et plus de 30.000 arrestations. Les conditions d’une reprise du feu de la révolte sont-elles présentes ?
La Corée du Nord est née en 1945 d'un "coup stratégique" de l'URSS/Russie. En déclarant la guerre au Japon, 24 heures après Hiroshima, l'URSS peut juridiquement participer à sa capitulation (!). Avec ses 19km de frontière commune, l'URSS se porte candidate pour désarmer la péninsule coréenne occupée par le Japon. Les États-Unis refusent de voir Moscou s'introduire dans toute la Corée. Elle est donc divisée Nord/Sud, La Corée du Nord, communiste, sous obédience russe est née.
Les relations entre la France et le Maroc, se sont compliquées au niveau gouvernemental depuis quelques temps. Le fort tremblement de terre au sud de Marrakech, et la "non acceptation" par le Maroc de l'offre officielle d'assistance de la France, ont révélé au grand jour une situation tendue contrastant avec la relation des deux populations.
L’Iran, coeur géographique et politique du Moyen-Orient, fait face à de violentes agitations populaires depuis de nombreuses années. Elles ont au fil du temps, et des évènements, progressivement changé de nature.
La décision d'Israël d'accepter l'invitation de l'Ukraine et de participer à la réunion de la "Plateforme de Crimée" irrite au plus haut point la Russie. Ce "Format" avait été lancé par Kiev en août 2022, donc 6 mois avant l'invasion russe. Israël n'avait pas été invitée à l'époque. Moscou craint que ce rapprochement avec l'Ukraine conduise Israël, un jour, à fournir de l'armement à Kiev. Dans sa situation militaire, et compte tenu de la qualité des équipements israéliens, la Russie ne veut absolument pas être confrontée à une telle situation. Tel-Aviv, d'un autre côté, sait parfaitement que les forces russes en Syrie ne s'opposent nullement à ses bombardements aériens sur les forces iraniennes présentes dans ce pays. Moscou est tactiquement obligée d'accepter la présence iranienne, mais ne souhaite pas stratégiquement son maintien. Elle laisse donc faire l'armée israélienne. Bel exemple de double jeu... Il y a aussi bien à Moscou qu'à Tel-Aviv un savant jeu de bascule dans leurs relations bilatérales. L'affaiblissement potentiel de la Russie par sa guerre en Ukraine n'est pas forcément un inconvénient pour Israël. La relation entre les deux pays est cyclique. Cette évolution pourrait se poursuivre si le régime de Téhéran, allié de la Russie et ennemi profond d'Israël, venait un jour à vaciller. Cela placerait les deux soutiens du président syrien, l'Iran et la Russie, sur le reculoir...
Depuis 60 ans, ce pays connaît des conflits armés. D'abord contre l'Éthiopie pour son indépendance, puis des rivalités avec ce même pays, et maintenant avec la province éthiopienne du Tigré, dont l'Érythrée est frontalier.
Les 6 semaines à venir seront cruciales. Si la progression ukrainienne ne peut atteindre cet objectif avant le 15 Octobre, la pluie et la boue automnales figeront les positions pour 6 mois.... Le conflit pourrait le 25 février prochain entrer dans sa 3ème année....
Publié sur Europe 1 - Vendredi soir, le pouvoir militaire, en place au Niger depuis le coup d'État du 26 juillet dernier, donnait 48 heures à l'ambassadeur de France pour quitter le pays. Et malgré l'expiration du délai dimanche soir, Paris n'a pas cédé et le diplomate est resté sur place. De quoi engendrer des risques pour son intégrité ?